identité : hestia's heir (mel). âge : vingt-trois ans, gémeaux ascendant scorpion. profession : cambrioleuse notoire à la retraite, reconvertie en femme à tout faire au pandemonium romance : célibataire. sentimentalement parlant, les choix plus que discutables s'amoncellent et sa tendance presque surnaturel à s’amouracher des individus les moins fréquentables et à toujours réussir à aggraver la situation quand elle se trouve (déjà) en mauvaise posture perdure. gang : neutre. fairytale : boucle d'or ― boucle d'or et les trois ours. happy endings : 13 dram : 59 miroir : florence pugh. crédits : gajah, hoodwink.
odelia 'delia' frye
someone's been sleeping in my bed and she's still there
pseudo
hestia's heir
âge
vingt-trois ans
faceclaim
florence pugh, cette queen
crédits
gajah, tumblr
un mot ?
PRÉNOM & NOM[odelia frances frye] ⊹ il ne s’agit là que d’un pêle-mêle de lettres entremêlés, loin d’une quelconque transcendance, sans anecdote particulière ni hommage mémorable à de quelconques aïeuls. Simplement deux prénoms choisis avec attention par deux parents qui s’aimaient alors encore et le patronyme d’un père relativement peu investi dans son éducation. Delia pour diminutif, tout aussi simplement.
NAISSANCE[mai '61, keening] ⊹ gémeaux ascendant scorpion. Enfant de Keening, ville qui a bercée vingt trois de ses printemps, mais dont elle ne garde que l'amère impression d’avoir été trop longtemps spectatrice de sa propre vie. Elle est restée là, faute de meilleures perspectives, et les rêves d’ailleurs ont fini par s’évanouir.
HÉRITAGE CULTUREL[juive, écossaisse] ⊹ elle valse entre traditions hébraïques et folklore irlandais, alliant amour immodéré pour l’irish coffee et shabbat hebdomadaire, l’un ne pouvant aller sans l’autre, comme les deux faces d’une même pièce. Déjà fort rouillée dans son cas.
PROFESSION[cambrioleuse notoire à la retraite, reconvertie en femme à tout faire au pandemonium].
SITUATION FINANCIÈRE[modeste].
STATUT SOCIAL[célibataire] ⊹ sentimentalement parlant, les choix plus que discutables s'amoncellent et sa tendance presque surnaturel à s’amouracher des individus les moins fréquentables et à toujours réussir à aggraver la situation quand elle se trouve (déjà) en mauvaise posture perdure. Bisexuelle, si elle a toujours apprécié s’adonner aux plaisirs saphiques, c’est aux courbes masculines et aux traits anguleux que vont ses préférences lorsqu’il est question de sentiments.
LIEU DE LOCALISATION[baobhan sith district].
IDENTITÉ DU PERSONNAGE DE CONTE[goldilocks] ⊹ boucle d'or et les trois ours.
there you are pleine d’humour (aussi noir puisse-t-il être) -- n’est pas le genre d’individu à prendre des pincettes ni même à se priver de dire ce qu’elle pense sous couvert d’une quelconque bienséance (bien qu'elle enrobe ses immondices d'une irrévérencieuse bienveillance) -- adepte de la joute verbale -- incapable de lâcher prise, de baisser les bras ou d’abandonner (vindicative à en mourir, fière à en être (presque) ridicule) -- de mauvaise foi mais d’agréable compagnie -- sa réputation de chieuse séduite par l’anti-tout la précède -- a tendance à prendre un malin plaisir à affubler de surnoms ridicules qui ne font rire qu’elle toutes les personnes qu’elle fréquente -- souffre d’une carence affective familiale qu’elle décharge dans une sexualité plutôt débridée -- les réflexions abracadabrantes de mademoiselle ne sont un secret pour personne ; c'est qu'elle en fait fréquemment profiter son entourage -- mauvaise perdante et tricheuse si besoin est -- a une peur bleue des pigeons -- (presque) incapable de se remettre en question -- sous ses bizarreries bizarres, elle parvient étrangement bien à saisir les tempéraments et les personnalités. et elle touche souvent juste, avec ses interventions jetées là l'air de rien, sur un ton lointain.
COMMENT LE PERSONNAGE PERÇOIT-IL LES LÉGENDES/CE QU’IL PENSE DU FOLKLORE ? comment douter un seul instant de la véracité fantasmagorique dans laquelle baigne tout Keening quand on y est soi-même immergé depuis tant d’années ? Ici bas le surnaturel n’existe pas, il est l’insignifiant, le journalier, l’anormal confus devenu accablant ordinaire.
Odelia Frye
[good girl with bad habits] - Sam 18 Jan - 12:32
KEENING
Odelia Frye
identité : hestia's heir (mel). âge : vingt-trois ans, gémeaux ascendant scorpion. profession : cambrioleuse notoire à la retraite, reconvertie en femme à tout faire au pandemonium romance : célibataire. sentimentalement parlant, les choix plus que discutables s'amoncellent et sa tendance presque surnaturel à s’amouracher des individus les moins fréquentables et à toujours réussir à aggraver la situation quand elle se trouve (déjà) en mauvaise posture perdure. gang : neutre. fairytale : boucle d'or ― boucle d'or et les trois ours. happy endings : 13 dram : 59 miroir : florence pugh. crédits : gajah, hoodwink.
Even the best thief in the world can't steal time.
Assise sur le perron, les coudes sur ses genoux relevés et le menton appuyé sur ses mains, Odelia observait sa cadette se faire courtiser par celui qui s’apparentait être le fils de leurs nouveaux voisins. Le regard cupide, la blonde scrutait leur ingénu batifolage, analysait scrupuleusement tous ces stratagèmes d’avancées et de dérobades. Elle qui s’était toujours considéré comme la plus forte était bien forcée d’admettre qu’à ce jeu là Lorna était redoutable. Comment aurait-il pu ne pas être conquis ? Seigneur comme elle l’enviait, peut-être même jusqu’à la haine. Comment était-ce possible que sa soeur, toujours si docile et si obligeante, puisse vivre la plus grande des aventures avant elle ? Connaître l’amour et l’ivresse des premières passions alors qu’elle, la plus téméraire, ne connaissait rien de la vie. À l'exception faite des seules miettes que Lorna daignait semer sur son passage, qu’il s’agisse d’un soupirant éconduit, d’une robe délavée ou d’un reste de tarte à la citrouille soigneusement enrobé dans de l’aluminium par sa mère et paré d’un post-it griffonné à son intention. Odelia avait beau exécré les courges, se repaître d’une quelconque attention destinée à sa cadette, aussi immangeable puisse-t’elle être, pouvait vite s’apparenter à une licencieuse consécration. C’est qu’ils avaient tous tant attendu d’Odelia. Ses parents d’abord qui la voulaient sage comme Lorna, ses professeurs ensuite qui la désiraient obéissante, toujours comme Lorna, et le voisinage enfin qui aurait préféré la savoir utile aux autres plutôt que bonne à rien (mauvaise en tout). Finalement, ils n’avaient fait que créer une pâle copie de sa cadette sans même se soucier d’elle. Comme si le simple fait d’appartenir à l’espèce humaine ne suffisait plus à garantir son statut de personne. Tous s’entendaient à merveille à souhaiter un second modèle de perfection là où elle ne demandait qu’à exister (un peu). Ils lui ont appris à la mépriser et à revêtir Lorna : une peau inconfortable, une chair trop serrée qui la forçait à se modifier, à altérer le timbre de sa voix, modeler son rire jusqu’à même maquiller sa manière d’aimer. Alors, quand Lorna s’est mise à vouloir ce que les autres désiraient, Odelia ne désirait plus rien. Quand elle a décrété qu’elle voulait l’univers, elle ne voulait rien. Quand Lorna réparait, Odelia abîmait. Quand Lorna inspirait, Odelia étouffait. Quand l’une construisait, l’autre décimait.
(...)
— Lorna, cesse d’épier ta soeur et vient mettre la table. Comme toujours, la blonde n’avait pas entendu sa mère venir de derrière la maison. — C’est Odelia, Maman qu’elle soupire en se relevant mollement. — Tu m’as comprise, dépêche toi un peu. Ils continueront à l’appeler par un autre nom que la sien, ils la définiront par elle, la compareront à elle. Comme si elle n’était qu’une.
Maison des Frye, printemps 1974.
⊹⊹⊹
Les récentes et étranges effractions qui agitent les quartiers nords de la ville ne semblent pas prête de s’arrêter. (...) multiples vols d’objets sans grandes ni réels valeurs comme en témoigne Helen Chapman dont une collection de chapeaux d’époque a été dérobée, restes de dîners picorés, lits défaits, sanitaires utilisés (avec une préférence pour les baignoires sur pieds). (...) retour sur la série de cambriolages qui tient en haleine tout le département judiciaire de Keening.
Extrait de The Keening Telegram, journal local en date du 12/02/1979.
⊹⊹⊹
Mon cher Bartek, J'ai longtemps hésité avant de me décider à t'écrire. Mon coeur tremble tellement fort : plus encore que cette première fois où je t'ai dit que je t'aimais. C’est stupide, j’en conviens. Si tu te demandes pourquoi, sache que je n’ai aucune réponse à te fournir. Je n’en ai moi même aucune idée, tu sais. Peut-être faut-il croire qu’après toutes ces années je me fais finalement émotive. Ou peut-être est-ce la disparition de Dinah qui obscurcit mes pensées ? Bien que plusieurs semaines se soient écoulées, je reste incapable d’employer le terme approprié. Comme si je refusais la simple idée qu’elle ne m’apparaisse plus. Il m’arrive parfois de me dire qu’elle se joue de moi, qu’un beau jour elle finira par réapparaître et m’avouer s’en être simplement allé pour Paris sur un coup de tête et avoir épousé un malheureux poète torturé. Elle était comme ça, Dinah, aussi imprévisible que fantasque. Une pute comme on n’en fait plus qu’elle disait.
(...)
Dis Bartek, est-ce que tu te souviens de ce jour où tu m’as avoué que les super-héros portaient des capes pour y envelopper les petites filles qui tremblaient terrassées par le chagrin et la douleur ? Je me rappelle t’avoir frappé avec mon serre-tête. Je ne voulais pas être comme elles. Moi, je voulais simplement être aussi forte que tu ne paraissais l’être. Mais tu sais, on ne peut pas tous endosser le masque et les responsabilités qui vont avec. Pour ma part, je suis bien trop imparfaite pour être une héroïne. Alors je me contenterais d’agir en acolyte à la morale plus que douteuse. Mais je voudrais que tu saches combien je continue à croire en toi. Je ne saurais pas faire autrement, ça ne se commande pas ces choses là. Oui, je pourrais commencer cette lettre comme ça. Pourtant je n'en ferai rien, à une lettre griffonnée entre quelques margaritas trop corsées je préfère que tu ne gardes de moi que l’image d’une furie assoiffée de justice débarquant au commissariat au milieu de la nuit. Jamais tu n'apprendras combien me ronge l’infamie dans laquelle baigne Keening et j'embraserai le papier, trop plein de la sincérité des mots que je ne t'enverrai pas,
Odelia
Rédigé sur un set de table à colorier pour menu enfant d'un diner puis brûlé.
Perché du haut d’un perron mal entretenu, le front collé contre une fenêtre mal isolée, elle les avait longtemps observé avec une retenue certaine. Elles étaient voisines, amantes, mères célibataires, de ces femmes qui rentrent à l’aube et que les automobilistes dévisagent au petit matin. Plus jeune, Odelia s’était à maintes reprises demandé comment elles avaient pu en arriver là. Et si ? Deux mots qui suffisait à la faire pâlir, foudroyer ses à priori les plus tenaces et observer ces enivrantes créatures d’un oeil nouveau. Et si tout avait été différent, et si Dante n’avait pas ramassé à même le caniveau le chat errant qu’elle était ? On l’aurait certainement oublié au bord de la route, comme toutes ses pauvres filles. Une grossière supposition qui suffisait malgré tout à étirer la moue rembruni apposée sur ses lippes charnues.
(...)
Le vent froid fouette violemment son visage découvert alors que, silencieuse, elle quitte son perchoir pour arpenter, aux rythmes de ses bottines qui couinent contre le bitume encore humide, les rues tantôt désertés, tantôt mal mal famés de Baobhan Sith District. Un court instant elle oublie Lorna, ses retrouvailles avec Bartek et jusqu’au plus infime détail de sa bancale existence, jusqu’à ce qu’elle ne réalise s’être égaré dans un dédale de rues toutes plus similaires les unes aux autres. — Merde qu’elle lâche en apercevant le Pandemonium se profiler à une dizaine de mètres. Elle pourrait faire machine arrière, elle devrait même, mais sa curiosité maladive prend le dessus. Un rapide coup d’oeil et de retour à la maison, elle aurait matière à retranscrire de mémoire quelques croquis et avancer sur son enquête ? C’est tentant, peut-être trop ? Et pourquoi ne pas revêtir la peau d’une autre ? Le moment n’est pas opportun mais l’obsession est dévorante. Au point tel de l’entraîner dans les méandres de plaisirs sur lequel veille mère Gothel. Jusqu’à la déraison peut-être.
Odelia Frye
[good girl with bad habits] - Sam 18 Jan - 13:35
Invité
Invité
alors déjà que je me réjouissais de notre lien, mais ce début de fiche, c'est juste magnifique j'ai encore plus hâte, du coup, autant de jouer avec toi que de découvrir l'enfant terrible bienvenue ma belle
Invité
[good girl with bad habits] - Sam 18 Jan - 14:13
THE DAWN LOOTERS
Indra Shankar
identité : laura. âge : 31 ans. profession : parasite qui graille grâce aux richesses d'autrui, pas sans coeur, seulement sans race. gourou d'une bande, maître d'un théâtre retapé pour le superbe du geste, artiste et conteur, voleur et menteur, avocat et juge. romance : amoureux des amours qui crèvent au petit matin, volatile qu'a le coeur à droite et à gauche, qu'embrase les bouches façon feu de forêt. gang : dawn looters, du faux en veux-tu en voilà, de quoi se prendre pour le nouveau picasso et le rejeton d'arsène lupin. fairytale : clopin trouillefou, roi de thunes, successeur du grand-coësre, suzerain suprême du royaume de l'argot, déviant fictif de notre-dame de paris, roi sans couronne de la cour des miracles. happy endings : 114 dram : 437 miroir : dev patel. crédits : vesperis.
pTN DOUCETTE AAA !!!
t'es si belle, pis ce scénario, pis ce début de fiche, pis tout, pis !!!
bonne chance pour ta fiche !
Indra Shankar
[good girl with bad habits] - Sam 18 Jan - 16:08
THE HOWLING REAPERS
Mayra Vale
identité : bramble rose. âge : vingt-trois années qui s'égrainent dans son sablier personnel. Mais de l'enfant elle ne conserve que quelques fragmentations frelatées. L'égérie luciférienne s'étant appropriée depuis longtemps les entrailles de celle qui ne relève en rien de la sacro-sainte madone. profession : émir du macabre, les griffes s'échinent à dépecer avidement les canevas du trépas afin d'en soutirer le moindre secret. De sa gueule béante, s'articulent les phonèmes d'outre-tombe. En conséquent, la thaumaturge des maux psychiques s'illustre en tant que médium et noble bienfaitrice. romance : marasme sentimental où l’anaphrodisie du myocarde se ressent plus que de raison. Les ramifications se délient ainsi en un sfumato habile et tortueux, la finalité étant de juguler ces remugles fervents. gang : baal (the howling reapers). fairytale : alice in wonderland. happy endings : 169 dram : 467 miroir : anya chalotra crédits : self (av) old money (signa)
alan il mérite tellement sa boucle d'or, surtout une boucle d'or aussi géniale t'es trop belle, j'en veux plus, bienvenue !
Mayra Vale
[good girl with bad habits] - Sam 18 Jan - 16:18
KEENING
Odelia Frye
identité : hestia's heir (mel). âge : vingt-trois ans, gémeaux ascendant scorpion. profession : cambrioleuse notoire à la retraite, reconvertie en femme à tout faire au pandemonium romance : célibataire. sentimentalement parlant, les choix plus que discutables s'amoncellent et sa tendance presque surnaturel à s’amouracher des individus les moins fréquentables et à toujours réussir à aggraver la situation quand elle se trouve (déjà) en mauvaise posture perdure. gang : neutre. fairytale : boucle d'or ― boucle d'or et les trois ours. happy endings : 13 dram : 59 miroir : florence pugh. crédits : gajah, hoodwink.
mais je ??? vous êtes tous trop mims et c'est vous qui me dîtes ça avec vos persos et vos aes de folie stop
Odelia Frye
[good girl with bad habits] - Sam 18 Jan - 18:00
THE PANDEMONIUM
Dona Bellini
identité : LA CHONGA, flo âge : XXIX, stèle macabre. profession : ancienne putain, femme-bibelot, toile dégueulasse des lascivités esseulées. devenue bras droit tuméfié de cette succube trônant au pandemonium. romance : cannibale. sous l'entrelacs saillant des côtes, le chérubin est aphasique. elle a aimé, aime, aimera, d'une passion tragique vouée à l'essoufflement. gang : pandemonium. le vermeil de ses entrailles exsude de chaque pierre, chaque bout de granit est évidé de son nom, chaque soierie est viciée par son haleine. la tour est sa génitrice, sera probablement son trépas. fairytale : cruella de vil happy endings : 94 dram : 321 miroir : bella hadid crédits : VOCIVUS
aaaaah la fameuse la f a m e u s e grave hâte d'en lire encore plus, mais ça sent déjà super bon par ici va falloir qu'on s'capte dans l'intimité des dms toi et moi bienvenue en tout cas
florence est tellement belle, damn j'adore boucle d'or, j'espère qu'elle dénichera ses oursons sinon, voluteer pour lui en faire en guimauve
bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche
Adelheid Voss
[good girl with bad habits] - Sam 18 Jan - 22:07
KEENING
Odelia Frye
identité : hestia's heir (mel). âge : vingt-trois ans, gémeaux ascendant scorpion. profession : cambrioleuse notoire à la retraite, reconvertie en femme à tout faire au pandemonium romance : célibataire. sentimentalement parlant, les choix plus que discutables s'amoncellent et sa tendance presque surnaturel à s’amouracher des individus les moins fréquentables et à toujours réussir à aggraver la situation quand elle se trouve (déjà) en mauvaise posture perdure. gang : neutre. fairytale : boucle d'or ― boucle d'or et les trois ours. happy endings : 13 dram : 59 miroir : florence pugh. crédits : gajah, hoodwink.
@Dona Valentino GOD DAMN bella hadid en cruella ? plus parfait ? impossible. le rôle lui colle à la peau. je suis fan. beaucoup trop. on va faire du sale toi et moi sangsue bjr. (et j'annonce hein, tu vas crouler sous les crackships:staff: bella c'est l'une de mes muses + notre lien jvkxbxhfubiu ).
@Adelheid Voss j'ai clairement des mommy issues en regardant ton avatar je suis méga giga beaucoup trop fan de jessica stp adopte moi. ou à défaut réserve moi un lien d'enfer (j'accepte tout, larbin, assistante personnelle, petit oiseau, fan #1)
Odelia Frye
[good girl with bad habits] - Dim 19 Jan - 1:48
KEENING
Bartek Ozerov
identité : mal de nuit, alan âge : club 27. profession : carrière décriée, dans un monde où corruption et vice se sont amourachées, il tente vainement de combattre au nom de la loi et la justice. il est flic, et lorsque la nuit s'étend.. romance : palpitant qui ne sait plus fonctionner depuis bien longtemps. emprisonné dans la gueule de la féroce solitude. n'a d'envie que pour les insalubres, que pour celles qu'il ne peut souiller davantage. fairytale : pierre, pierre et le loup. happy endings : 167 dram : 663 miroir : bill skarsgard. crédits : self (ava, gif)
Ma chère Odelia, Je suis étonné, parce que j'ai pas le sentiment de t'avoir beaucoup parlé de la vision que j'avais du personnage. Juste son histoire, des traits de personnalité et rien de plus. Et putain.. Tu te l'es tellement appropriée de la bonne façon ! C'est clairement ce que je voulais, c'est même mieux honnêtement. C'est tragiquement drôle, c'est bizarre, elle est bizarre. Odelia est si mignonne dans ses réactions tout en ne manquant jamais de caractère. Tu tombes pas dans le cliché, elle est profonde et je l'aime d'amour. J'ai souri pendant toute la lecture en m'en voulant de le faire parce que wsh, c'est triste dans le fond. J'aime beaucoup ta façon d'écrire, j'aime beaucoup ce que tu as fait de Odelia et je suis trop trop trop content de te voir endosser ce rôle qui me tient tant à coeur ! Je vais arrêter de parler parce que la fatigue me rend grave émotive mais voilà. Je te souhaite donc la bienvenue sur COT et t'imagine pas comme j'ai hâte de développer tout ça au fil de nos rps